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1 Dave Ramsey: 5 Stages to Build and Scale a Business That Lasts | Entrepreneurship | E344 1:03:38
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Too many entrepreneurs get stuck on the business treadmill, hustling nonstop, unable to scale, and unknowingly stalling their growth. That’s where Dave Ramsey began. After crashing into $3 million in debt, he rebuilt from scratch, turning a small radio program into a national show with millions of listeners. With over three decades of experience in entrepreneurship, business growth, and content creation, he knows what it takes to build a lasting business. In this episode, Dave reveals the six drivers of long-term success, the five key stages of startup growth, and how he balances life as an entrepreneur and a content creator. In this episode, Hala and Dave will discuss: (00:00) Introduction (00:23) The Core Principles of Financial Freedom (05:42) Adapting to Change as a Content Creator (09:22) Balancing Content Creation and Entrepreneurship (12:34) How to Create a Clear Path in Business (15:19) The Truth About Starting a Business Today (18:22) The Six Drivers of Business Success (26:20) Shifting From Tactical to Strategic Thinking (29:44) The Five Stages of Business Growth (41:10) Leading with Care, Clarity, and Accountability (47:10) Identifying the Right Leadership Skills (48:35) Starting a Media Business as an Entrepreneur Dave Ramsey is a personal finance expert, radio personality, bestselling author, and the founder and CEO of Ramsey Solutions. Over the past three decades, he has built a legacy of helping millions achieve financial freedom. As the host of The Ramsey Show , Dave reaches more than 18 million listeners each week. He is the author of eight national bestselling books. His latest, Build a Business You Love , helps entrepreneurs navigate growth and overcome challenges at every stage. Sponsored By: Shopify - Sign up for a one-dollar-per-month trial period at youngandprofiting.co/shopify OpenPhone: Streamline and scale your customer communications with OpenPhone. Get 20% off your first 6 months at openphone.com/profiting Airbnb - Find yourself a co-host at airbnb.com/host Indeed - Get a $75 sponsored job credit at indeed.com/profiting RobinHood - Receive your 3% boost on annual IRA contributions, sign up at robinhood.com/gold Factor - Get 50% off your first box plus free shipping at factormeals.com/factorpodcast Rakuten - Save while shopping at rakuten.com Microsoft Teams - Stop paying for tools. Get everything you need, for free at aka.ms/profiting LinkedIn Marketing Solutions - Get a $100 credit on your next campaign at linkedin.com/profiting Resources Mentioned: Dave’s Book, Build a Business You Love: bit.ly/BuildaBusinessYouLove Dave’s Website: ramseysolutions.com Active Deals - youngandprofiting.com/deals Key YAP Links Reviews - ratethispodcast.com/yap Youtube - youtube.com/c/YoungandProfiting LinkedIn - linkedin.com/in/htaha/ Instagram - instagram.com/yapwithhala/ Social + Podcast Services: yapmedia.com Transcripts - youngandprofiting.com/episodes-new Entrepreneurship, Entrepreneurship Podcast, Business, Business Podcast, Self Improvement, Self-Improvement, Personal Development, Starting a Business, Strategy, Investing, Sales, Selling, Psychology, Productivity, Entrepreneurs, AI, Artificial Intelligence, Technology, Marketing, Negotiation, Money, Finance, Side Hustle, Mental Health, Career, Leadership, Mindset, Health, Growth Mindset, Side Hustle, Passive Income, Online Business, Solopreneur, Networking.…
BIENS COMMUNS, ACCES AUX RESSOURCES VITALES ET DROITS HUMAINS
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BIENS COMMUNS, ACCES AUX RESSOURCES VITALES ET DROITS HUMAINS Interventions du Samedi 26 mai 2018 lors de la Journée printanière de l’Université du Bien commun avec Sylvie Paquerot (professeure-chercheure à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa - Canada) et Pascal Durand (député européen, Groupe des Verts/Alliance libre européenne). Animation par Emmanuel Poilane (directeur de la Fondation France Liberté). Sylvie Paquerot nous parle de la lutte pour la reconnaissance de l’eau comme bien commun et du droit humain d’accès à l’eau qui fut, et reste bel et bien un conflit, voire un champ de bataille, où se confrontent des visions antagoniques du monde. La mise en relation de ces deux concepts investit celui de « droit humain » d’un surcroît de sens qui impose de penser en dehors des cadres institutionnels auxquels le réduit sa traduction juridique . Et la résurgence du concept de « commun », se situe précisément dans une perspective de décolonisation de l’imaginaire, face aux « pratiques hégémoniques sédimentées » de la souveraineté et du marché. Pascal Durand nous évoque « La surexploitation des ressources naturelles de notre société du jetable et ses impacts sur un plan social et environnemental ». Nous ne pouvons plus ignorer les conséquences environnementales, sociales et économiques de cette société du jetable, qu’il s’agisse de l’épuisement des ressources, de l’augmentation exponentielle des déchets, de la délocalisation des emplois industriels ou la perte d’emplois locaux, de l’exploitation sociale des travailleurs du sud, de l’appauvrissement des ménages qui acquièrent des produits de faible qualité et de la perte de confiance des consommateurs. Cette situation n’est pas soutenable. C'est pourquoi il est nécessaire d’aborder la question de la durabilité des produits dans sa globalité.
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BIENS COMMUNS, ACCES AUX RESSOURCES VITALES ET DROITS HUMAINS Interventions du Samedi 26 mai 2018 lors de la Journée printanière de l’Université du Bien commun avec Sylvie Paquerot (professeure-chercheure à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa - Canada) et Pascal Durand (député européen, Groupe des Verts/Alliance libre européenne). Animation par Emmanuel Poilane (directeur de la Fondation France Liberté). Sylvie Paquerot nous parle de la lutte pour la reconnaissance de l’eau comme bien commun et du droit humain d’accès à l’eau qui fut, et reste bel et bien un conflit, voire un champ de bataille, où se confrontent des visions antagoniques du monde. La mise en relation de ces deux concepts investit celui de « droit humain » d’un surcroît de sens qui impose de penser en dehors des cadres institutionnels auxquels le réduit sa traduction juridique . Et la résurgence du concept de « commun », se situe précisément dans une perspective de décolonisation de l’imaginaire, face aux « pratiques hégémoniques sédimentées » de la souveraineté et du marché. Pascal Durand nous évoque « La surexploitation des ressources naturelles de notre société du jetable et ses impacts sur un plan social et environnemental ». Nous ne pouvons plus ignorer les conséquences environnementales, sociales et économiques de cette société du jetable, qu’il s’agisse de l’épuisement des ressources, de l’augmentation exponentielle des déchets, de la délocalisation des emplois industriels ou la perte d’emplois locaux, de l’exploitation sociale des travailleurs du sud, de l’appauvrissement des ménages qui acquièrent des produits de faible qualité et de la perte de confiance des consommateurs. Cette situation n’est pas soutenable. C'est pourquoi il est nécessaire d’aborder la question de la durabilité des produits dans sa globalité.
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1 Alerter, résister, se mobiliser - quand le bien commun et l’intérêt général sont menacés 1:00:00
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Rencontre-débat (avec courtes projections) du jeudi 29 février 2024 de 18 h 30 à 21 h à l’Académie du climatproposée et coordonnée par Cristina Bertelli et Indira Bonvini (comité de pilotage de l’UBC)Quand le bien commun, les biens communs et l’intérêt général sont mis en péril par les intérêts privés d’acteurs économiques et financiers, dans des secteurs clés très lucratifs, il est essentiel que les citoyen.nes affirment de plus en plus fort leur rôle dans la prise de décision démocratique, y compris dans les choix technologiques, scientifiques et éthiques.Lancer l’alerte : et après ? De l’intérêt du dispositif d’alerte et de ses limitespar Pauline Delmas. Elle a d’abord exercé en tant qu’avocate en droit pénal des affaires, avant de rejoindre le monde associatif. Après une première expérience en tant que responsable juridique et plaidoyer au sein de la Maison des Lanceurs d’Alerte, elle a rejoint l’association Sherpa au mois de novembre 2023 en tant que juriste chargée de contentieux et plaidoyer. Outre la protection des lanceurs d’alerte, ses thématiques sont la lutte contre les procédures-bâillons et la défense de la capacité des associations à agir en justice. Alerter par tous moyens mais pas n’importe comment ni sur n’importe quoi par Yovan Gilles. Yovan Gilles, philosophe, corédacteur de Les périphériques vous parlent a sur le sujet de l’alerte co-organisé 6 conférences au Palais du Luxembourg avec le soutien des sénateurs Jean Desessard et Marie-Christine Blandin (cette dernière étant à l’origine de la loi Sapin sur l’alerte de 2016). La revue et collectif les périphériques vous parlent a également édité en 2016 l’outil pédagogique web Lancement d’alerte : 14 Réponses à des questions, en collaboration avec le philosophe et journaliste d’investigation Roger Lenglet. Protéger la décision publique des ingérences du privé sans l’asphyxier. L’équilibre délicat de l’encadrement du lobbying et des mobilités public/privé par Kévin Gernier. Diplômé d’un master de lobbying, à l’issue duquel il a rejoint l’équipe salariée de l’association anti-corruption Transparency International France où il s’est spécialisé dans l’encadrement de ses anciens condisciples. Il y travaille également sur la prévention de la corruption dans le secteur public, la régulation des conflits d’intérêts et la transparence de l’action publique.…
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1 L’éducation bien commun : une autre façon de penser l’école ? Atelier 2 1:05:28
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Jeudi 11 janvier 2024 de 18h30 à 21 h 30 à l’Académie du climatSession organisée et animée par Jean Pascal Derumier (UBC), StéphanieSellem (CNNR groupe éducationbiencommun), Joëlle Cordesse (GFEN) et aussi Chantal, Dominique, Joël, Edith,membres du groupe CNNR éducationL’Université du bien commun à Paris, en partenariat avec le Conseil national de la nouvelle résistance, vous invite à une nouvelle session sur l’éducation bien commun. Nous avons ouvert en 2023 un cycle de réflexion autour de cette thématique en nous inscrivant dans un format de recherche collaborative et dialogique. Ce nouvel atelier s’inscrit dans la continuité d’un premier organisé le jeudi 11 mai 2023, et de l’intervention de Philippe Meirieu du 13 novembre dernier, qui s’est exprimé sur ce sujet dans le cadre de la présentation de son livre, co-écrit avec AbdennourBidar, Grandir en humanité (Autrement, 2022). Ce second atelier nous amène à nous poser la question suivante : comment faire vivre concrètement la responsabilité partagée de l’éducation, avec l’école au centre, à l’aune des défis socio-environnementaux du XXIème siècle ? Ensemble, nous poursuivrons donc notre réflexion à partir d’interventions d’invités, de nos partages d’expériences, de la diversité de nos savoirs, de nos vécus. Et cela en ne perdant pas de vue que la question de l’école est avant tout une question politique et doit être traitée comme telle. Les intervenants Claire Herber-Suffrina été institutrice durant 15 ans et est devenue une des chevilles ouvrières du Mouvement des réseaux d’échange réciproque de savoirs (MRERS), lancé en 1987 à l’initiative de 25 réseaux ; mouvement qu’elle continue à porter aujourd’hui.Gérard Delbet, enseignant retraité de l’école Vitruve, écrivain, auteur de Ecole Vitruve, territoire éducatif (in : Spécificités 2019/1, n° 12)Philippe Meirieuest l’une des grandes voix du débat public sur l’éducation en France. Professeur des universités émérite en sciences de l'éducation, il a grandement contribué à diffuser en France les principes pédagogiques issus de l’éducation nouvelle.Pierre Leroy est un défenseur de la cause écologiste. Il a été maire de Puy-Saint-André durant deux mandats. Aujourd’hui, il est (notamment) Président du Pays Grand Briançonnais et vice-président de la communauté de communes du Briançonnais.…
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Rencontre-débats du jeudi 16 novembre 2023 à l’Académie du climat, 2 place Baudoyer - 75004 ParisAvec Harold Levrel - professeur d’économie écologique à AgroParisTech, Cired, co-auteur avec Antoine Missemer du livre L'économie face à la nature /De la prédation à la coévolution (éditions Les petits matins, 2023). Un livre en partenariat avec l’Institut Veblen pour les réformes économiques.Francine Depras – sociologue, elle est administratrice du RéUniFEDD et de la Société Française de Prospective (SFdP) et y poursuit ses recherches sur les politiques territoriales et urbaines et de l’enseignement. Ses recherches portent plus particulièrement sur la transition écologique et les transformations sociétales. Elle travaille aussi depuis plusieurs années sur la comptabilité socio-environnementale et est membre de l’association CERCES (Cercle des Experts-Comptables Environnementaux).Si nous n’attribuons pas une valeur et ensuite un prix aux richesses naturelles et aux bénéfices que nous prodigue l’activité écosystémique, il nous sera difficile de les défendre, plaident certains. Cette démarche ne fait pourtant pas l'unanimité. En effet, réduire "les questions environnementales à des fonctions utiles uniquement à l'être humain, avec une vision très partielle, sans comprendre les interactions beaucoup plus larges" n’est pas viable, critique Aurore Lalucq, députée européenne et co-auteure du livre Faut-il donner un prix à la nature. Fixer un prix ou une valeur "* ne garantit pas que tout le monde prenne des décisions pour la protéger", reconnait Mary Ruckelshaus, auteure du Natural Capital Project de l’Université de Stanford, qui prône des régulations publiques en la matière.Avec la raréfaction des ressources naturelles et la disparition désormais inévitable de certaines espèces, la loi de l’offre et de la demande s’applique désormais aux « richesses » naturelles*. Depuis déjà plusieurs décennies, les biens communs naturels mondiaux attisent toutes les convoitises et se voient attribuer un rôle de premier plan sur les marchés financiers grâce aussi aux dispositifs économiques règlementaires destinés à les protéger. De tels dispositifs sont sensés servir de bouclier à leur dégradation sans pour autant parvenir à endiguer les agressions répétées dont ils font l’objet.…
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1 # 1 Financiarisation de la nature 1:00:02
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jeudi 19 Octobre 2023 de 19h à 21h30 à l’Académie du climat, 2 place Baudoyer - 75004 ParisRencontre proposée par l’Université du bien commun à Paris,initiée et animée par Indira Bonvini & Yovan Gilles (Comité de pilotage de l’UBC)Interventions et échanges avec :Sandrine Feydel, journaliste à France Télévisions. Elle travaille pour les différentes éditions des journaux de France 2, France 3 et France Info. Elle est spécialiste des questions écologiques et a déjà réalisé plusieurs magazines et documentaires sur ces thèmes, comme « Nature, le nouvel eldorado de la finance » (90 min, Arte), « Océans de plastique » (52 min, France 3) ou « Colorado, les voleurs de fleuve ». Elle est l’une des auteurs du livre « Greenwashing, manuel pour dépolluer le débat public » qui est sorti en Mars 2023 aux Editions du Seuil, et a aussi écrit « Prédation » (Editions La Découverte).Frédéric Hache - Après 12 ans à travailler sur les marchés financiers, il rejoint en 2011 l'ONG Finance Watch où il a travaillé sur la réglementation des marchés financiers post crises. En 2017 il a co-fondé le Green Finance Observatory qui analyse les solutions de marchés appliquées aux politiques environnementales. Il enseigne également à temps partiel la finance durable à Sciences Po. ***Combien vaut la forêt d’Amazonie ? Quelle est la valeur marchande de l’incessant labeur de pollinisation accompli par les abeilles… ? Des conservateurs de la nature et des économistes plaident pour donner une valeur aux services rendus par les écosystèmes : eau potable, air de bonne qualité, pollinisation, absorption du CO2 par les forêts et les océans, diversité génétique… -, partant du principe que des ressources gratuites et perçues comme renouvelables à l'infini seront mal protégées.…
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1 Jean-Benoît ZIMMERMANN Les Communs (Des jardins partagés à Wikipédia) 59:59
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Les Communs (Des jardins partagés à Wikipédia)Editions Libre & Solidaire – Juin 2021 « 40 minutes de l’UBC – un auteur, un livre »La rencontre sera introduite et animée par Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent), membre du comité de pilotage de l’Université.Jean-Benoît Zimmermann est économiste, directeur de recherche CNRS, membre associé de l'AMSE à Aix-Marseille Université. Il a toujours développé dans sa pratique une approche ouverte et interdisciplinaire en sciences sociales. Il a consacré une grande part de ses recherches aux territoires, à la proximité et aux réseaux sociaux. Il a été l'un des premiers économistes français à étudier le logiciel libre. Il a ensuite travaillé sur les Creative Commons et la musique, les médicaments antipaludéens, le rôle des contributions volontaires dans le fonctionnement des associations et les communs sociaux.* * *« Les communs, dont les racines historiques sont lointaines, ont toujours prouvé leur efficacité comme mode d’action collective et solidaire autour d’une ressource partagée. A l'heure de la mondialisation économique et financière, ils manifestent la volonté d’un nombre croissant de citoyens de reprendre en main leur destin.On trouve des communs dans une grande variété de domaines : ressources naturelles et foncières, cognitives, sociales, urbaines… Des jardins partagés à Wikipédia, des AMAP aux monnaies locales, les initiatives collaboratives se multiplient.Les communs ne sont pas, comme certains de leurs détracteurs les qualifient, une naïve utopie débouchant sur une indescriptible pagaille dans laquelle chacun n’agirait qu’en fonction de son intérêt propre. Un commun, c'est aussi une gouvernance s’appuyant sur un système de règles, produites collectivement et acceptées par tous, au bénéfice de chacun et dans le but de préserver la ressource contre la dégradation ou une appropriation abusive.Ce livre propose une analyse des fondements du phénomène et de la variété de ses manifestations. Il interroge sur la question de savoir dans quelle mesure les communs peuvent constituer un moteur de transformation profonde de nos sociétés. »…
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1 Des méga-bassines à l'eau bien commun De nouvelles conquêtes pour les services publics de l’eau 1:00:02
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extraits des interventions du Jeudi 6 avril 2023 à l’Académie du climat. Avec la participation de Joëlle Lallemand, présidente de l’APIEEE (Association de Protection et d’Information et d’Etudes de l’Eau et de son Environnement), Jean-Jacques Guillet, co-porte-parole des Bassines Non Merci et Jean-Claude Oliva, fondateur et directeur de la Coordination EAU Île-de-France. Rencontre coordonnée et animée par Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent, comité de pilotage de l’UBC)Peu après le rassemblement « Pas une bassine de plus ! » qui a eu lieu à Sainte-Soline les 25 et 26 mars 2023 derniers, cette rencontre proposera d’approfondir les raisons qui justifient une large opposition à l’extension indéfinie des méga-bassines sur le territoire national. En contrepoint à ce qui ressemble bien à une privatisation par défaut de l’eau, ce sera également l’occasion d’évoquer, à l’inverse, les nombreuses victoires citoyennes obtenues ces dernières années en Ile-de-France avec la re/création de régies publiques de l’eau, fruit de batailles menées conjointement par des élu.e.s municipaux et des collectifs de citoyens, après des décennies de privatisations déguisées par l’euphémisme ronflant de « délégations de service public ». Au lendemain du rassemblement de Sainte-Soline le 29 octobre 2022 contre les travaux visant la construction d’une nouvelle méga-bassine dans le département des Deux-Sèvres, le New York Times annonçait à juste titre que « la guerre de l’eau avait commencée en France ». En effet, cela y ressemble.…
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1 Philippe Descola parle de "Ethnographies des mondes à venir (co-auteur Alessandro Pignocchi) 1:00:02
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8ème visio-rencontre du cycle « 40 minutes de l’UBC – un auteur, un livre »Lundi 23 janvier 2023 de 18h30 à 19h15 Philippe Descola a parlé de l’ouvrage Ethnographies des mondes à venir de Philippe Descola et Alessandro Pignocchiéditions du Seuil, 2022La rencontre est initiée et modérée par Claire Dehove/ WOS agence des hypothèses,Ambassadrice de la MétaNation et Ambassadrice des communs membre du comité de pilotage de l’UBC de ParisLe nouveau livre que Philippe Descola est écrit en dialogue avec Alessandro Pignocchi et ses dessins subtilement décapants, esquisse la perspective d’une société hybride qui verrait s’articuler des structures étatiques et des territoires autonomes dans un foisonnement hétérogène de modes d’organisation sociale, de manières d’habiter et de cohabiter. L’ouvrage Ethnographies des mondes à venir puise son inspiration dans les données anthropologiques, les luttes territoriales et les combats autochtones.Avec Alessandro Pignocchi, Philippe Descola y interroge les manières de redessiner le droit, de le réécrire pour changer les termes de l’habitation des humains et des non-humains.Ils imaginent ensemble des dispositifs susceptibles, à terme, de convertir les milieux de vie en sujets politiques. « La diversité comme principe normatif s’appuie sur un point de vue biocentré, ou écocentré, dans lequel ce sont les milieux de vie, et leur nécessaire diversité biologique et culturelle, qui seraient les véritables sujets juridiques, et donc politiques. »Leur pensée rejoint en cela celle de Camille de Toledo développée dans Les Auditions pour un Parlement de Loire, Le fleuve qui voulait écrire, ouvrage dont il nous a parlé le 28 mars 2022. Ces ouvrages préfigurent la réflexion collective que Claire Dehove va initier dans le cadre de l’Université du bien commun de Paris, autour de la création d’une instance diplomatique dédiée à la reconnaissance, à la préservation et au statut juridique des biens commun, notamment des biens communs publics mondiaux. La session du 16 février 2022 à l’Académie du Climat, inaugurera le processus avec Philippe Descola et Frédérique Aït Touati. Après des contributions à l’ethnologie de l’Amazonie, fondées notamment sur des enquêtes parmi les Achuar, Philippe Descola se consacre depuis plusieurs années à l’anthropologie comparative des rapports entre humains et non-humains et, plus récemment, à l’anthropologie des images. Professeur émérite au Collège de France et directeur d’études à l’EHE…
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Dialgues avec l'auteur animés par Corinne Ducrey (Festival Chemin Faisant) 9/11/2022 Kako Nubukpo est commissaire chargé du département de l’Agriculture, des Ressources en eau et de l’Environnement de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Economiste, opposant déclaré au franc CFA, il est directeur de l’Observatoire de l’Afrique subsaharienne de la Fondation Jean Jaurès. Il a été ministre chargé de la Prospective et de l’Evaluation des politiques publiques au Togo (2013-2015). Il est l’auteur de l’Urgence africaine (Odile Jacob (2019).A propos du livre Une solution pour l’Afrique : du néoprotectionnisme aux biens communs :« L’Afrique est soumise à un défi gigantesque : intégrer en une génération 1 milliardsd’individus supplémentaires dans un contexte de faible productivité, de quasi-absence d’industrie, d’urbanisation accélérée, le tout coiffé par unecrise climatique devenue permanente.Cette « urgence africaine » impose d’inventer un nouveau modèle économique. Car l’Afrique a trop souvent été un continent cobaye, soumis à toutes sortes de prédations. Le huis clos inattendu de la crise du Covid-19 lui a permis de redécouvrir la richesse de son patrimoine.Forte de cette leçon, elle doit désormais réinventer son développement en s’appuyant sur ses biens communs.Mettre en place un néoprotectionnisme africain et préserver ses ressources propres (terres, biens numériques…) assurer sa souveraineté - alimentaire en développant l’agroécologie, monétaire et financière avec la création d’une agence de la dette - sont autant de pistes pour que l’Afrique se réapproprie son destin. Avec cette conviction : en promouvant une économie du partage, les biens communs sont aussi profondément ancrés dans la réalité sociale africaine. » (Kako Nubukpo / Editions Odile Jacob 2022)…
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1 Les biens communs, l'horizon pour le climat 1:00:04
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Interventions et débat public avec Alexandre Monnin — Directeur Scientifique d’Origens Media Lab, Enseignant-Chercheur en école de management, ex-Président de l’association Adrastia. Docteur en philosophie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Sa recherche porte sur les enjeux ontologiques du Web et du Web sémantique, l’Anthropocène et la fin du numérique ou encore la question de la coopération et des communs.Corinne Ducrey — Cofondatrice de l'UBC. Elle est successivement chercheuse au CSO/CNRS, fondatrice de l’ESMC Ecole Supérieuredes Métiers de la Culture, enseignante en méthodologie et politiques publiques (Sorbonne CELSA, Sciences Po). Spécialiste de la communication et des médias (Institut National de l’Audiovisuel, ETV MEDIA), elle est fortement engagée dans les mouvements citoyens et à l’initiative de projets sur la transition écologique (Transithon /Olympiades de la Terre). Elle préside le festival Chemin Faisant.Elif Karakartal — Anthropologue de formation et réalisatrice de films documentaires, Elif Karakartal suit depuis plusieurs années la communauté de Caimanes au Chili et sa résistance contre le troisième plus grand réservoir de déchets miniers au monde.Yovan Gilles — Cofondateur de l'UBC. Engagé dans une activité évènementielle pluridisciplinaire, co-rédacteur en chef de la revue Les périphériques vous parlent, il a participé dès 1997 à l’organisation des premiers forums sociaux mondiaux préfigurant l’altermondialisme. Il a participé à la conception et à la mise en oeuvre de projets et dynamiques publiques : collectif Travail et Démocratie, lutte contre les discriminations, santé environnementale, lancement d’alertes…Patrick Viveret — Philosophe et essayiste, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes. Très actif dans les mouvements altermondialistes,il a participé en 2001 à porto Alegre au 1er Forum social mondial, cofondateur des "Dialogues en humanité", il est àl'origine de la monnaie complémentaire Sol. Il est l'auteur d'une dizaine de livres dont "Reconsidérer la richesse", visant à redéfinir les indicateurs de richesse, "La Cause Humaine, du bon usage de la fin d'un monde" et dernièrement "La colère et la joie".Nuage et Phit (Youth for Climate) — Aussi connu sous le nom de Fridays for Future, Youth for Climate est un mouvement rassemblant des jeunes du monde entier qui agissent pour l’environnement et pour notre futur. Tout autour du globe, ils demandent la justice climatique et sociale.…
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Extraits de la session publique du SAMEDI 19 MARS 2022au Tiers-lieu et bar/jardin de l’Eternel Solidaire, 1 rue de la solidarité 75019 Intervention d’ Alexandre Monnin, philosophe, directeur scientifique d’Origens Media Lab, un laboratoire indépendant consacré aux enjeux de l’Anthropocène et cofondateur de l'initiative Closing Worlds. Il est également enseignant-chercheur en école de management (ESC Clermont BS) où il dirige le Master of Science “Strategy & Design for the Anthropocene” (https://strategy-design-anthropocene.org/), porté conjointement avec Strate Ecole de Design à Lyon.*suivie d’un atelier-débat avec Lionel Maurel, Juriste et bibliothécaire, co-fondateur du collectif SavoirsCom1, Session coordonnée par Claire Dehove (Agence WOS des hypothèses), Annie Flexer (Réseau Roosevelt Paris-Île-de-France) et Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent) La notion de communs négatifs a été initialement proposée par Maria Mies et Veronica Bennholt-Thomsen au début des années 2000. Elle a connu un regain d'intérêt en 2017 où elle a été mobilisée à la fois par Sabu Kohso et par Alexandre Monnin, selon des acceptions quelque peu différentes. D’après ce dernier « Il est possible d'en livrer une généalogie en situant ses usages les uns par rapport aux autres. Une première lignée envisage les communs négatifs à partir du déchet, avant de se déplacer vers des enjeux infrastructurels ou vers celui des déchets nucléaires, qui ne partagent plus que le nom avec les déchets dont parlaient Mies et Bennholt-Thomsen. A côté de cette première généalogie, Alexandre Monnin en propose une autre, à partir de la notion de ruines. L'enjeu, ici, est de renverser la notion du commun traditionnel pour se saisir de réalités qui, loin de susciter la convoitise, telles les ressources au centre de plusieurs conception des communs, imposent différentes formes de négativité (les déchets nucléaires, les espèces invasives, le numérique, le néolibéralisme, etc.). Dans certains cas, cette négativité semble évidente, dans d'autres, cette évidence fait défaut et la controverse est vive (5G, glyphosate, nucléaire, etc.). Dans tous les cas, l'identification des communs négatifs est avant tout un processus d'enquête qui vise à instituer ces réalités en des situations nécessitant une prise en charge allant de diverses modalités de "vivre avec" au "vivre sans". L'enjeu tient donc à la nécessité de faire émerger les conditions institutionnelles et démocratiques d'une politisation…
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1 Libérons l’eau de la bourse! (Campagne mondiale) 1:00:37
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Tournant historique : le 7 décembre 2020, l’eau, source de toute vie, est devenue officiellement une valeur cotée en bourse aux Etats-Unis, dans l’indifférence des gouvernements. Un an après, et un mois après l’ouverture de la COP 26, UN RASSEMBLEMENT A EU LIEU LE MARDI 7 DECEMBRE DE 18H30 A 20H PLACE DE LA BOURSE A PARIS.A l’initiative de l’Agora des habitants de la terre, de la coordination eau Ile-de-France et de l’Université du Bien Commun à Paris et de Bassines, de nombreuses organisations ont rejoint cette mobilisation qui ne fait que commencer. Pour mobiliser dans la durée sur ces enjeux cruciaux, organisations et citoyen.ne.s se sont rassemblés dans la même journée en Italie, en Belgique, au Chili, au Brésil et en Argentine, dans le cadre de l’initiative « Libérons l’eau de la bourse » del’Agora des habitants de la terre.Interventions : Jean-Claude Oliva (directeur de la Coordination Eau Île de France)Mathilde Panot (Député nationale de la France Insoumise) Julien Le Guet (porte-parole du Collectif Bassines Non Merci) Benoît Biteau (député européen Europe Écologie Les Verts) Nicolas Girod (porte-parole de la Confédération Paysanne)Jean-Pascal Derumier (Université Eau Bien Commun Paris)Marie Toussaint (députée européenne EELV, juriste en droit international de l’environnement, cofondatrice de l’association Notre affaire à Tous)Renée-Lise Rothiot (L’Eau qui mord), Bernard Schmitt (Collectif Eau 88) et Edouard De Filegonde (Eau Bien Commun 63)…
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1 Libérons l'eau de la bourse! Rassemblement du 7/12/21 Place de la bourse 1:00:37
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Une production de la radio Fréquence Paris Plurielle. 106.3 bande FMTournant historique : le 7 décembre 2020, l’eau, source de toute vie, est devenue officiellement une valeur cotée en bourse aux Etats-Unis, dans l’indifférence des gouvernements. Un an après, et un mois après l’ouverture de la COP 26, UN RASSEMBLEMENT A EU LIEU LE MARDI 7 DECEMBRE DE 18H30 A 20H PLACE DE LA BOURSE A PARIS.Avec les interventions des député.e.s Mathilde Panot, Marie Toussaint, Benoît Biteau, la coordination eau IDF, Université du Bien Commun, Bassines..... Retrouvez l'intégralité des interventions plus haut.Pour mobiliser dans la durée sur ces enjeux cruciaux, organisations et citoyen.ne.s se rassembleront dans la même journée en Italie, en Belgique, au Chili, au Brésil et en Argentine, dans le cadre de l'initiative "Libérons l'eau de la bourse" de l'Agora des habitants de la terre. - A cette occasion hautement symbolique, nous vous invitons également à découvrir sur la chaîne You Tube de l’Université du Bien Commun la vidéo de la session intitulée L’eau : un droit à la vie ! Vers un bien commun mondial ?, en cliquant sur le lien : https://youtu.be/-0Ho-6HOKik A partir de ce mois-ci, les vidéos des sessions de l’université seront régulièrement mises en ligne.…
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1 1/2 Mondes paysans, marchandisation du vivant et résistances : Vers une autonomie paysanne et alimentaire ? 1:00:00
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1ère partie des interventions de la session publique : Mondes paysans, marchandisation du vivant et résistances :Vers une autonomie paysanne et alimentaire ? qui a eu lieu le samedi 25 septembre 2021 A l’Espace associatif et culturel du Campus Condorcet à Aubervilliers.Session initiée et coordonnée par Sciences Critiques dans le cadre des ateliers et débats de l’Université du Bien commun à Paris, autour du livre-manifeste de l’Atelier Paysan : Reprendre la terre aux machines (Editions du Seuil, Collection Anthropocène, mai 2021)Avec les trois sociétaires présents, Emmanuel Aze (Lot-et-Garonne), Florian Marteau (Morbihan) et Nicolas Decome (Bouches-du-Rhône) exposeront les constats et les actions de l’Atelier Paysan, dans une perspective de transformation sociale. Nous aborderons ensemble les propositions de l’essai politique Reprendre la terre aux machines, Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire.Le modèle agricole productiviste favorise l’utilisation de machines surpuissantes et high-tech, qui rendent l’agriculteur dépendant de l’ingénieur, des pouvoirs financiers, de l’expansion numérique. Ces pratiques ont également un impact sur les milieux naturels, les communautés paysannes, l’aménagement du territoire, l’emploi rural, la santé, l’offre alimentaire. « En somme, la logique « techniciste » et industrielle en agriculture affecte toute la société ». Comme l’expose la coopérative l’Atelier Paysan, « l’escalade technologique permanente, rarement perçue comme un facteur décisif, assure la poursuite du mouvement de dépossession et d’élimination des agriculteurs ». Mouvement global contre lequel se forment et se réinventent des résistances.Né en 2009 en Isère, l’Atelier Paysan propose une réorientation complète afin d’unir les paysans et paysannes sur la question des techniques agricoles. Référencer, concevoir, colporter. En partant des besoins des paysans, la coopérative, aujourd’hui présente également en Bretagne et dans le Minervois constitue une plateforme de ressources et de formations qui essaime ces communs sur tout le territoire français dans un esprit d’autonomie et de réappropriation des savoirs et des savoir-faire agricoles.…
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1 1/2 Les forêts européennes : un enjeu démocratique vital face au dérèglement climatique 1:00:01
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1ère heure extraits de la session.Session initiée et coordonnée par Indira Bonvini, Cristina Bertelli, Corinne Ducrey et Yovan Gilles en partenariat avec le Festival Chemin Faisant.Lors de cette session sylvestre, nous aborderons la question de la forêt bien commun sous de nouveaux angles par rapport aux deux sessions précédentes sur le même sujet. La forêt cristallise aujourd’hui des enjeux démocratiques, économiques et écologiques au niveau national mais également au niveau européen. Plusieurs questionnements émergent à ce propos. - Marie Toussaint - Juriste en droit international de l'environnement, cofondatrice de l’association Notre affaire à tous et à l’origine de la campagne L’Affaire du Siècle, élue députée européenne en Mai 2019 sur la liste Europe Ecologie Les Verts.- Eric Fabre - Secrétaire Général de l’Association Francis Hallé.- Témoignage de Bernard Boisson - Président de l’Association Forêt Citoyenne, auteur du livre La forêt primordiale aux Editions Apogée.- Témoignage de Catherine Combaldieu - Lanceuse d’alerte, pétition pour la sauvegarde des forêts domaniales du Grand Paris contre les coupes rases en Ile-de-France. Secrétaire Générale de l’Association Forêts Citoyennes. - Patrick Norynberg - Consultant-formateur en politiques publiques et développement social et territorial, expert en démocratie participative. Auteur de nombreux ouvrages sur la ville, la citoyenneté, la démocratie.…
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1 4/4 Les forêts notre bien commun : entre bien public et bien privé où se situe le bien commun ? 1:00:03
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Extraits de la session du Samedi 5 Décembre 2020. Session initiée et coordonnée par Indira Bonvini, Cristina Bertelli, Yovan Gilles. La différence entre biens publics et biens communs, en particulier concernant les forêts, est une distinction à éclairer plus que jamais. Nous explorerons lors de cette session certains aspects juridiques, économiques et sociétaux concernant ces écosystèmes.Avec Marine Calmet - Juriste en droit de l'environnement et des peuples autochtones, Présidente de l'association Wild&Legal et porte-parole du collectif Or de question Marine Calmet connaît bien la Guyane Française, un territoire aux forêts primaires menacées, notamment par les projets miniers. Un territoire emblématique des difficultés de conjuguer intérêts économiques, environnementaux et humains pour sauvegarder nos espaces forestiers. Elle nous apportera des exemples de jurisprudences internationales qui ont permis de faire évoluer la protection des droits de la nature en reconnaissant la personnalité juridique de parcs, de mangroves ou encore de forêts. Les habitants de ces forêts, peuvent-ils en être les porte-parole ? Yovan Gilles - Les périphériques vous parlent et membre du comité de pilotage UBC. - Reforestation en cours : de quelle reforestation parlons-nous ?Philippe Canal - Secrétaire général du syndicat Snupfen-Solidaires et porte-parole de l'intersyndicale de l'Office national des forêts. Il nous donnera un aperçu de l'état des forêts publiques en France.Les forêts sont placées sous la sauvegarde de la Nation selon le code forestier. Mais le monde forestier est en agitation en France aujourd'hui. La gestion de la forêt est dirigée désormais par les besoins d'une industrialisation croissante imposée par des impératifs financiers qui passent désormais avant toute autre considération environnementale et humaine. Bertrand Sicard présentera le travail de l'Association Vita Sylvae Conservation.Lionel Maurel – Juriste, auteur du Blog S.I.lex.Quelle relation entre propriété privée et bien commun dans le cas des forêts ? La France est le pays européen où il y a le plus grand nombre de forêts privées. Or, ce n'est pas le statut de propriété qui fait le bien commun, mais l'orientation politique donnée à sa gestion. Intervention de Mathilde Panot (députée – commission parlementaire Forêts/bien commun) Témoignage de Florence Massin, David Buault, de l'Association Semeurs de Forêts- Echanges entre tous les intervenant.e.s et…
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1 3/4 Les forêts notre bien commun : entre bien public et bien privé où se situe le bien commun ? 59:54
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1 2/4 Les forêts notre bien commun : entre bien public et bien privé où se situe le bien commun ? 1:00:01
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Extraits de la session du Samedi 5 Décembre 2020. Session initiée et coordonnée par Indira Bonvini, Cristina Bertelli, Yovan Gilles. La différence entre biens publics et biens communs, en particulier concernant les forêts, est une distinction à éclairer plus que jamais. Nous explorerons lors de cette session certains aspects juridiques, économiques et sociétaux concernant ces écosystèmes.Avec Marine Calmet - Juriste en droit de l'environnement et des peuples autochtones, Présidente de l'association Wild&Legal et porte-parole du collectif Or de question Marine Calmet connaît bien la Guyane Française, un territoire aux forêts primaires menacées, notamment par les projets miniers. Un territoire emblématique des difficultés de conjuguer intérêts économiques, environnementaux et humains pour sauvegarder nos espaces forestiers. Elle nous apportera des exemples de jurisprudences internationales qui ont permis de faire évoluer la protection des droits de la nature en reconnaissant la personnalité juridique de parcs, de mangroves ou encore de forêts. Les habitants de ces forêts, peuvent-ils en être les porte-parole ? Yovan Gilles - Les périphériques vous parlent et membre du comité de pilotage UBC. - Reforestation en cours : de quelle reforestation parlons-nous ? Philippe Canal - Secrétaire général du syndicat Snupfen-Solidaires et porte-parole de l'intersyndicale de l'Office national des forêts. Il nous donnera un aperçu de l'état des forêts publiques en France.Les forêts sont placées sous la sauvegarde de la Nation selon le code forestier. Mais le monde forestier est en agitation en France aujourd'hui. La gestion de la forêt est dirigée désormais par les besoins d'une industrialisation croissante imposée par des impératifs financiers qui passent désormais avant toute autre considération environnementale et humaine. Bertrand Sicard présentera le travail de l'Association Vita Sylvae Conservation. Lionel Maurel – Juriste, auteur du Blog S.I.lex.Quelle relation entre propriété privée et bien commun dans le cas des forêts ? La France est le pays européen où il y a le plus grand nombre de forêts privées. Or, ce n'est pas le statut de propriété qui fait le bien commun, mais l'orientation politique donnée à sa gestion. Intervention de Mathilde Panot (députée – commission parlementaire Forêts/bien commun) Témoignage de Florence Massin, David Buffault, de l'Association Semeurs de Forêts- Echanges entre tous les intervenant.e.s et les participants.…
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1 Travail et commun (2) Le travail invisible des communs 1:00:01
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Travail et commun (2)Le travail invisible des communs. SAMEDI 29 FEVRIER 2020à La Paillasse (Maison du Libre et des Communs – Paris) Extraits des interventions de la session organisée et animée par Annie Flexer et Bruno Lamour, Réseau Roosevelt Paris – Ile de France. Avec Lionel Maurel, Juriste et bibliothécaire, co-fondateur du collectif SavoirsCom1, Christine Castejon, analyste du travail et philosophe. Bref retour sur le collectif Travail & Démocratie (par Cristina Bertelli et Yovan Gilles, Les périphériques vous parlent)Dans la suite de notre session de 2019 : "Travail et commun : repenser les fondations du concept de travail au XXIe siècle, au prisme du commun", nous proposons, dans ce deuxième volet, de débattre sur le sens et la place de ce travail des communs aujourd’hui, en écho à l'actualité du développement des communs immatériels et de l'expression citoyenne du désir d'une démocratie plus juste, et d’ouvrir la réflexion sur les possibles transformations de la place du travail et des autres activités, à l'échelle d'une vie, dans le contexte socio-économique du XXIe siècle.Lionel Maurel – Travail gratuit et travail invisible dans les communs de la connaissance.Bénévoles ou salariés, les producteurs des Communs numériques restent le plus souvent invisibles aux yeux du grand public, alors qu'ils expérimentent de nouvelles formes d'organisation du travail et de rapports au marché.Christine Castejon – L'activité invisible des retraité.e.sL’invisibilité est une caractéristique présente dans tout travail et elle donne lieu à des analyses (c’est ce que pratique un.e analyste du travail) mais l’activité des retraité.e.s n’est jamais considérée sous cet angle. On se servira des concepts mobilisés en analyse du travail pour mettre en lumière des arguments aujourd’hui absents du débat public.…
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1 2/2 MARCHANDISATION ET PRIVATISATION DU VIVANT : APPROPRIATION DES COMMUNS NATURELS ET DES SAVOIRS ASSOCIES 1:00:20
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MARCHANDISATION ET PRIVATISATION DU VIVANT : APPROPRIATION DES COMMUNS NATURELS ET DES SAVOIRS ASSOCIES Extraits des interventions du 7/ 12/ 2019 qui s’est déroulée à La paillasse (Maison du Libre et des Communs – Paris) Session proposée par la Fondation Danielle Mitterrand-France Libertés (Marion Veber, responsable des programmes) et animée par Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent). La biopiraterie fait référence à la privatisation du vivant et des savoirs traditionnels sur la biodiversité, notamment par le biais de brevets. Les biopirates sont les entreprises, en particulier pharmaceutiques, cosmétiques ou agroalimentaires, ainsi que les instituts de recherche qui s’approprient des plantes ou semences ainsi que les connaissances et savoir-faire sur ces ressources à travers la propriété intellectuelle. Interventions lors de cette première heure d’émission : - LA BIOPIRATERIE : NOUVELLE FORME DE PRIVATISATION DU VIVANT ET DES SAVOIRS SUR LE VIVANT par Marion Veber. AÏNY, UNE MARQUE DE COSMETIQUE BIO ENGAGEE CONTRE LA BIOPIRATERIE par Daniel Joutard, entrepreneur et membre du comité scientifique de la Fondation Danielle Mitterrand. PRIVATISATION DE LA NATURE ET BIOPIRATERIE : LE REGARD DE LA JEUNESSE AUTOCHTONE DE GUYANE (JAG) par Ludovic Pierre, membre de la Jeunesse Autochtone de Guyane.…
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1 1/2 MARCHANDISATION ET PRIVATISATION DU VIVANT : APPROPRIATION DES COMMUNS NATURELS ET DES SAVOIRS ASSOCIES 59:23
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MARCHANDISATION ET PRIVATISATION DU VIVANT : APPROPRIATION DES COMMUNS NATURELS ET DES SAVOIRS ASSOCIESExtraits des interventions du 7/ 12/ 2019 qui s’est déroulée à La paillasse (Maison du Libre et des Communs – Paris)Session proposée par la Fondation Danielle Mitterrand-France Libertés (Marion Veber, responsable des programmes) et animée par Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent)La biopiraterie fait référence à la privatisation du vivant et des savoirs traditionnels sur la biodiversité, notamment par le biais de brevets. Les biopirates sont les entreprises, en particulier pharmaceutiques, cosmétiques ou agroalimentaires, ainsi que les instituts de recherche qui s’approprient des plantes ou semences ainsi que les connaissances et savoir-faire sur ces ressources à travers la propriété intellectuelle. Interventions lors de cette première heure d’émission :- LA BIOPIRATERIE : NOUVELLE FORME DE PRIVATISATION DU VIVANT ET DES SAVOIRS SUR LE VIVANT par Marion Veber. - AÏNY, UNE MARQUE DE COSMETIQUE BIO ENGAGEE CONTRE LA BIOPIRATERIE par Daniel Joutard, entrepreneur et membre du comité scientifique de la Fondation Danielle Mitterrand. - Plaidoyer de Christophe Pierre, vice-président du Grand Conseil coutumier de Guyane à l’ONU sur la biopiraterie et la protection des savoirs traditionnels Interventions qui feront l’objet d’une émission complémentaire ultérieure :- BIOPIRATERIE EN OUTRE MER. EN FINIR AVEC L’IMPUNITE (Thomas Burelli, professeur de droit au Canada et membre du comité scientifique de la Fondation Danielle Mitterrand). Projection d’une vidéo. - PRIVATISATION DE LA NATURE ET BIOPIRATERIE : LE REGARD DE LA JEUNESSE AUTOCHTONE DE GUYANE (JAG) par Ludovic Pierre, membre de la Jeunesse Autochtone de Guyane.…
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1 Autosuffisance alimentaire : les défis de l’agriculture urbaine et rurale au devant des risques climatiques 1:00:04
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Extraits des interventions du Samedi 23 novembre 2019 à la Maison du Libre et des Communs - ParisAvancer la notion de commun par rapport au lien entre agriculture et autosuffisance alimentaire est indispensable, mais en tenant compte de quelles limites et réalités ? Session proposée et animée par Yovan Gilles et Les périphériques vous parlent.Avec Pierre Thomé en deux parties (Chercheur indépendant en matière d’agriculture et d’alimentation et dans l'exploration d'idées en relation avec des pratiques : utopies, biens communs...). Autosuffisance* et sécurité alimentaires : l'exemple de Paris. Pour l’alimentation équilibrée d’une personne, quelle serait aujourd’hui la surface en terre cultivable nécessaire pour une production alimentaire bio en pleine terre pendant un an, à raison d’une moyenne d’une consommation d'un kilo par jour de nourriture ? Vers une nouvelle révolution agricole ? https://utopies.blog/2019/06/11/revolution-agricole/et Stéphane Linou (Ancien Conseiller général de l’Aude, conseiller en développement local, pionnier du mouvement « Locavore » en France, auteur du Livre-Enquête "Résilience alimentaire et sécurité nationale" https://www.thebookedition.com/fr/resilience-alimentaire-et-securite-nationale-p-367243.html)Résilience alimentaire et sécurité nationale. La déterritorialisation des lieux de production et de consommation expose les agglomérations urbaines à des pénuries alimentaires potentielles, qui mettraient leur sécurité alimentaire immédiatement en péril dès lors que seraient immobilisés par des circonstances diverses leurs flux d’approvisionnement.…
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1 Les communs au prisme des "droits de la nature" 1:00:14
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Emission des Périphériques vous parlent sur la radio Fréquence Paris Plurielle (106.3 bande FM). Les communs au prisme des "droits de la nature"Humains et non-humains : vers de nouveaux agencements socio-écologiques et vers une ontologie relationnelleExtraits des interventions de Lionel Maurel et d’Alexandre Monnin et des réactions du public lors de l’atelier-débat du samedi 18 mai 2019 à la Maison du Libre et des Communs à Paris, organisé par l’Université du Bien Commun à Paris. Cette session était proposée et animée par Sylvia Fredriksson. Si le monde académique et la sphère militante se sont emparés des Communs pour porter de nombreuses revendications en matière d’écologie, les analyses croisant explicitement la thématique des Communs avec celle des « droits de la nature » sont encore assez rares, alors même que leur mise en relation fait surgir des questions importantes. Revisiter les théories des communs, mises en débat par l’anthropocène et l’émergence des « droits de la nature ». Quelles sont les forces et les limites des théories des communs dont nous héritons pour penser les droits de la nature ? Quels en sont les implicites et les alternatives ? Comment revisiter les formes de propriété consubstantielles aux dynamiques d’appropriation de la nature ? De quelles institutions avons-nous besoin pour accueillir ces nouvelles approches des communs ? Quelles sont les formes institutionnelles compatibles avec ces nouvelles ontologies relationnelles ? Quelles perspectives d’implantation des droits des non-humains dans nos systèmes juridiques ?Alexandre Monnin : Directeur Scientifique d’Origens Media Lab, Enseignant-Chercheur en école de management et Président de l’association Adrastia. Docteur en philosophie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Lionel Maurel : Juriste de formation et conservateur de bibliothèques, en poste à l'Institut National des Sciences Humaines et Sociales (INSHS) du CNRS, où il occupe les fonctions de directeur adjoint scientifique en charge des questions d'information scientifique et technique (IST). Sylvia Fredriksson (Designer et chercheur). ses travaux portent sur les relations entre design, technique et politique. Elle contribue aux travaux de plusieurs collectifs.(SavoirCom1, Remix The Commons, Open Knowledge Foundation) entourant la question des communs.…
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1 1/2 Les forêts : un bien commun à protéger 1:00:30
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1ère heure d'émissionsamedi 12 octobre 2019Les forêts : un bien commun à protégerHistoire, actualités et perspectives 1/2à la Maison du Libre et des Communs – ParisSession proposée par Indira Bonvini en collaboration avec le Festival Chemin faisant (Corinne Ducrey) et Cristina Bertelli (Les périphériques vous parlent)15h20/15h50 L’histoire des communs. Les biens communaux et droits d'usage en forêt en France et en Europe à travers les siècles. Intervention de Jérôme Buridant (Professeur de géographie historique à l’Université de Picardie, Jules Verne). 15h50 - 16h10 Les forêts et les sols forestiers assurent des fonctions capitales, complexes et interactives au sein de l'environnement, par rapport à l’air, à l’eau, au sol, à la biodiversité. Faut-il associer dégradation de l’environnement et déforestation ? Intervention d’Emmanuelle Neyroumande (Elle a travaillé 10 ans au sein du pôle Forêts du WWF France, puis 5 ans sur les enjeux mondiaux liés à la production et la consommation de pâte à papier au sein de WWW International). Les forêts doivent-elles devenir des biens communs mondiaux ? Bien que de nombreuses forets sur la planète soient déclarées patrimoine mondial de l’Humanité par l’ONU, cela ne va pas de pair avec une reconnaissance juridique contraignante concernant leur protection. Comme l’affirme la juriste Marta Torre-Schaub : « Une idée serait de considérer les forêts mondiales comme des biens communs mondiaux, susceptibles d’avoir un statut juridique en tant que tels de sorte qu’ils soient gérés par la communauté internationale de manière exclusive ou conjointement avec plusieurs États en coalition ». Les arbres : quand les spécialistes en parlent, ils les nomment « les sujets ». Sujets de quoi ? Sujets à qui ? « La nature et ses forêts sont plus importantes que n’importe laquelle de nos technologies. Vous penseriez être perdu sans votre smartphone ? Imaginez donc un monde sans forets, minéral comme dans les films de science-fiction. Production d’oxygène, séquestration du carbone, régulation du climat, pluie, bois, fibres, nourriture, médicaments... aucune technologie actuelle ne peut prétendre à cela ! Des projections font état d’un triplement de la demande en « ressources bois » d’ici 2050 et une production croissante de denrées comme le caoutchouc, le soja, l’huile de palme, le bœuf et le sucre, qui sont toutes des causes importantes de déforestation, La déforestation s’intensifie, principalement dans les régions trop…
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1 1/2 Enjeux de l’écologie urbaine et de la transition énergétique 53:11
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Les périphériques vous parlent, Rue de la Solidarité D2L, Radio FPP - Fréquence Paris Plurielle, Université du Bien Commun à Paris proposent une émission radio publique sur le thème :Enjeux de l’écologie urbaine et de la transition énergétique (2ème émission du cycle : la ville de rêve sur Fréquence Paris Plurielle 106.3 bande FM) jeudi 12 septembre Au bar-jardin solidaire, 1 rue de la solidarité 75019 Paris De 19h à 20h30 Invité-é-s : Célia Blauel (Maire-Adjointe de Paris chargée de la transition écologique, du climat et de l'environnement), Cédric Pronnier ( Les jardins d’Hérold, Association Débrouille Compagnie), Christine Nedelec (Presidente de France nature environnement Paris), Muriel Martin-Dupray (Vice-présidente de France nature environnement ile de France). Les grandes métropoles comme Paris, n’ont pas d’autre choix aujourd’hui que d’accélérer leur mutation afin de prévenir les catastrophes sanitaires futures liées au réchauffement climatique et à la pollution. animation : Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent)Avec nos invité-e-s, nous aborderons les principaux aspects de cette mutation : Au plan de l’écologie urbaine 19h / 19h 30:➡ végétalisation des murs, des toits et de l’espace public ➡ développement de l’agro-écologie urbaine et des éco-quartiers, ➡ assainissement et gestion durable de l’eau, ect…Au plan de la transition énergétique 19h30 / 20h :➡ rénovation thermique des bâtiments ➡ lutte contre le gaspillage énergétique, transports, mobilités douces et partagées, alimentation (circuits courts) …➡ économie circulaire 20h/20h30 : questions et discussions avec le public présent…
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1 2/2 Enjeux de l’écologie urbaine et de la transition énergétique 46:58
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Les périphériques vous parlent, Rue de la Solidarité D2L, Radio FPP - Fréquence Paris Plurielle, Université du Bien Commun à Paris proposent une émission radio publique sur le thème :Enjeux de l’écologie urbaine et de la transition énergétique (2ème émission du cycle : la ville de rêve sur Fréquence Paris Plurielle 106.3 bande FM) jeudi 12 septembre Au bar-jardin solidaire, 1 rue de la solidarité 75019 Paris De 19h à 20h30 Invité-é-s : Célia Blauel (Maire-Adjointe de Paris chargée de la transition écologique, du climat et de l'environnement), Cédric Pronnier ( Les jardins d’Hérold, Association Débrouille Compagnie), Christine Nedelec (Presidente de France nature environnement Paris), Muriel Martin-Dupray (Vice-présidente de France nature environnement ile de France). Les grandes métropoles comme Paris, n’ont pas d’autre choix aujourd’hui que d’accélérer leur mutation afin de prévenir les catastrophes sanitaires futures liées au réchauffement climatique et à la pollution. animation : Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent)Avec nos invité-e-s, nous aborderons les principaux aspects de cette mutation : Au plan de l’écologie urbaine 19h / 19h 30:➡ végétalisation des murs, des toits et de l’espace public ➡ développement de l’agro-écologie urbaine et des éco-quartiers, ➡ assainissement et gestion durable de l’eau, ect…Au plan de la transition énergétique 19h30 / 20h :➡ rénovation thermique des bâtiments ➡ lutte contre le gaspillage énergétique, transports, mobilités douces et partagées, alimentation (circuits courts) …➡ économie circulaire 20h/20h30 : questions et discussions avec le public présent…
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Extraits de la session du samedi 23 mars 2019Travail et commun :repenser le concept de travail au XXIe siècle,au prisme du communà la Maison du Libre et des Communs – ParisSession proposée par Réseau Roosevelt.Paris-Ile-de-France,animée par Annie Flexer et Bruno Lamour.Interventions de Maëlle Ramage (historienne, Docteur en histoire du Moyen-Âge – RéseauRoosevelt.Paris-Ile-de France), Sidi Mohammed Barkat (philosophe, ancien enseignant-chercheur à l’universitaire, directeur de programme au Collège international de Philosophie de Paris et chargé d’enseignement au Centre d’éducation permanente, Pôle Ergonomie et Ecologie Humaine, de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne),Thomas Coutrot (économiste et statisticien du travail, ancien porte-parole d’Attac et cofondateur des Économistes atterrés)Maëlle Ramage – « Travail » et « commun » au Moyen Âge, deux notions qui ne se rencontrent pas ? Le travail au Moyen Âge prend de nombreuses formes selon qu’il est urbain ou rural, organisé en corporations ou « libre », etc. A cette réalité correspond un vocabulaire riche qui dépend de la valeur sociale attachée à l’activité désignée. Pour saisir la nature du travail au Moyen Âge, il est indispensable de nous départir de notre conception contemporaine de la discipline économique qui se caractérise par sa très forte autonomie autant que par sonhégémonie. En effet, dans la société médiévale, il n’existe pas de frontière entre économie, politique et religieux. L’analyse de cette imbrication permet d’esquisser un lien entre travail et commun.BibliographieTravailler à Paris (XIIIe-XVIe siècle), Médiévales, 2015/2, n° 69. (Disponible sur cairn)P. Bernardi, Maître, valet et apprenti au Moyen Âge. Essai sur une production bien ordonnée, Toulouse,CNRS/Université de Toulouse-Le Mirail, 2009.B. Merdrignac, « Robert Fossier, Le travail au Moyen Âge », Compte-rendu, Annales de Bretagne et des Pays del’Ouest, 2001, 108-2, p. 157-159. (Disponible sur cairn)M. Arnoux, « Relation salariale et temps du travail dans l’industrie médiévale », Le Moyen Âge, 2009, tome CXV,p. 557-581. (Disponible sur cairn)A. Chatriot, O. Join-Lambert et V. Viet (dir.), Les politiques du travail, 1906-2006. Act…
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1 1/2 l’eau, un bien commun local et mondial 1:30:05
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Mardi 28 mai émission de radio en public sur le thème l’eau, un bien commun local et mondial. Au café solidaire, 1 rue de la Solidarité - 75019 Paris, dans la cour-jardin (Métro Danube ou Ourcq) Avec Jacques Perreux (militant de l’eau comme bien commun, président du groupe écologiste et citoyen du territoire Grand Orly, Seine/Bièvre, Conseiller municipal). Extrait audio avec Riccardo Petrella (économiste et politologue, initiateur du Contrat mondial pour l’eau). L’eau, en tant que bien commun vital et naturel, et « droit insubstituable à la vie », ne doit plus faire l’objet d’une marchandisation comme c’est le cas aujourd’hui. Jacques Perreux évoquera la dimension philosophique de l’appropriation citoyenne des enjeux de l’eau ; les difficultés et les succès de luttes pour la remunicipalisation des services hydriques, à travers notamment son initiative en cours dans le Val de Marne. A travers cet exemple, il abordera les aspects du lobbying de la multinationale Veolia sur la SEDIF (Syndicat des eaux d’Ile-de-France), l’histoire de la délégation de gestion de l’eau à cette multinationale ; les avantages - tant en terme de coûts que de gestion durable de la ressource pour les communes et les usagers de l’eau du grand Orly Seine Bièvre - de repasser en gestion publique avec le projet de reconnexion inter-municipale des services hydriques pour ces 15 villes.…
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1 2/2 l’eau, un bien commun local et mondial 30:02
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2ème partieMardi 28 mai émission de radio en public sur le thème l’eau, un bien commun local et mondial. Au café solidaire, 1 rue de la Solidarité - 75019 Paris, dans la cour-jardin (Métro Danube ou Ourcq) Avec Jacques Perreux (militant de l’eau comme bien commun, président du groupe écologiste et citoyen du territoire Grand Orly, Seine/Bièvre, Conseiller municipal). Extrait audio avec Riccardo Petrella (économiste et politologue, initiateur du Contrat mondial pour l’eau). L’eau, en tant que bien commun vital et naturel, et « droit insubstituable à la vie », ne doit plus faire l’objet d’une marchandisation comme c’est le cas aujourd’hui. Jacques Perreux évoquera la dimension philosophique de l’appropriation citoyenne des enjeux de l’eau ; les difficultés et les succès de luttes pour la remunicipalisation des services hydriques, à travers notamment son initiative en cours dans le Val de Marne. A travers cet exemple, il abordera les aspects du lobbying de la multinationale Veolia sur la SEDIF (Syndicat des eaux d’Ile-de-France), l’histoire de la délégation de gestion de l’eau à cette multinationale ; les avantages - tant en terme de coûts que de gestion durable de la ressource pour les communes et les usagers de l’eau du grand Orly Seine Bièvre - de repasser en gestion publique avec le projet de reconnexion inter-municipale des services hydriques pour ces 15 villes.…
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1 1/2 Le Commun et la notion de Relation 1:00:02
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Samedi 6 avril 2019 - Le Commun et la notion de Relation 1/2 (Violaine Hacker, Jacques Le Goff, Stéphane Vincent et Yovan Gilles)Nous organisons d'abord un débat pour aborder ces notions sous l'angle théorique, et pour les illustrer ensuite par des aspects plus concrets. Les problématiques que la notion de « Relation » pose sont à la fois de nature épistémologique, paradigmatique et pratique. Elles questionnent notre façon de gérer nos ressources communes, mais aussi de considérer nos comportements, nos interactions, nos apprentissages, notre savoir, et ce que nous voulons faire ensemble. Ce concept de « Relation » favorise ainsi une pensée structurante, car il offre des principes de réflexion, des critères de jugement, des lignes directrices pour l’action.Introduction : Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent), intervention poétique à propos d'un penseur de la notion de Relation : Edouard Glissant. Violaine Hacker (Common Good Forum), présentation des problématiques : la pensée du Bien commun, inspirée du triptyque de Gaston Fessard sur les différentes communautés.1ère partie : la notion de relation et ses implications concrètes par Jacques Le Goff (Professeur de droit social et de philosophie du droit, Président de l'association des Amis d'Emmanuel Mounier). Echanges avec le public.2ème partie : La notion de relation et ses déclinaisons concrètes par Stéphane Vincent (Cofondateur / directeur, La 27e Région); Françoise Ferrand (Mouvement international ATD Quart Monde, Référente pédagogique des programmes européens Quart Monde-Université et Quart Monde, Partenaire Co-animatrice du Réseau Wresinski Participation, Croisement des Savoirs); Marine Gauvain, artiste chez Ayya et Pierre Spielewoy (jeune chercheur en droit et en anthropologie, co-président de l’association Ayya, mouvement promouvant l'écologie relationnelle.) Echanges avec le public.…
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1 Biens communs, critique du numérique et enjeux démocratiques 1:00:38
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Biens communs, critique du numérique et enjeux démocratiquesEmission réalisée à partir de l’Atelier-débat du même nom de l’Université du Bien Commun à Paris du 9 février 2019, proposé et animé par Anthony Laurent et Edouard V.Piely de Sciences Critiques (site d'information et de réflexion critique participatif sur les sciences.) Avec des extraits des interventions de Philippe Borrel (réalisateur), Isabelle Attard (députée entre 2012 et 2017), Félix Tréguer (chercheur et membre-fondateur de l'association La Quadrature du Net) et Lionel Maurel (conservateur de bibliothèques, juriste et co-fondateur du collectif SavoirsCom1).A cette occasion, a été présenté, en avant-première parisienne, le nouveau film de Philippe Borrel, "La Bataille du Libre" (87 min), produit par Jérémy Zelnik et Tancrède Ramonet (Temps Noir).…
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