Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes.
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GLMF - Pierres de touche #111 - Débat - Violences faites aux femmes, un nouveau regard ? - 23 avril 2023
MPEG3•Źródło odcinka
Manage episode 361442039 series 1496425
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La violence conjugale, fléau social longtemps occulté, est aujourd’hui reconnue et toutes les enquêtes récentes en démontrent l’ampleur. Vingt ans après la mort de l’actrice Marie Trintignant des coups de Bertrand Cantat, et la mise en lumière de ces violences qui vont du viol au meurtre, et conduisent parfois au suicide, la situation ne semble guère s’améliorer puisque les violences faites aux femmes ne cessent d’augmenter (avec un bond de 21% en 2021). En 2022, on dénombrait ainsi 112 femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint.
Parmi les 213 000 femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019, 70% d'entre elles déclarent avoir subi des faits répétés. Se posent donc plusieurs questions, y compris celle de la récidive après punition.
En 2020, à la suite du Grenelle contre les violences conjugales, une nouvelle loi visant à protéger les victimes a été adoptée. Elle intègre désormais clairement le fait que le harcèlement moral au sein du couple peut conduire au suicide et est désormais puni par une peine de prison.
Récemment, le cas d’un député condamné pour violences conjugales a fait beaucoup parler, montrant que ces violences touchent absolument toutes les couches de la population.
Du crime passionnel au féminicide, un changement de regard sur les violences faites aux femmes ?
Avec
- Tristane BANON, romancière et essayiste, La paix des sexes et le collectif Toutes afghanes – et récemment Le Péril Dieu (Ed. de l’Observatoire)
- Marc CREPON, philosophe, directeur de recherche au C.N.R.S., travaux sur la violence, La philosophie face à la violence, avec Frédéric Worms, Paris, Équateurs, 2015 L'épreuve de la haine : essai sur le refus de la violence, Paris, Odile Jacob, 2016 Ces temps-ci : la société à l'épreuve des affaires de mœurs, Paris, Rivage, octobre 2020
- Ghada HATEM-GANTZER, gynécologue, obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes à Saint-Denis en 2016, première structure en France à offrir une prise en charge globale des femmes victimes de violences et de l'excision.
Partie 1 : quelle analyse du phénomène
- Quelles sont les spécificités des violences faites aux femmes ?
- Quelles différences entre la sphère domestique et la sphère extérieure ?
- Violence à la maison – Violence dans la rue, les transports… ?
- Quels chiffres ? On dit que toutes les femmes ont au moins été une fois victime d’une agression et notamment sexuelle
- A-t-on une idée des auteurs de telle ou telle forme de violence ?
- Est-ce selon vous un phénomène individuel ou social ?
- Sommes-nous en face d’individus violents envers les femmes ou est-ce construit, une culture de la violence, du viol, du patriarcat ?
I- l existe aussi des violences médicales et notamment lors des actes gynécologiques, sommes-nous ainsi dans un phénomène qui dépasse de loin celui de la violence à proprement parler ?
Partie 2 : les féminicides vus par la société
- Pourquoi parler de féminicide, quels sont les enjeux derrière le conflit sémantique qui semble se jouer dans la dénomination des crimes touchant les femmes, notamment dans la sphère domestique ?
- Est-ce un terme accepté, réellement utilisé ou est-ce encore un terme militant, qu’il convient d’imposer ?
- Est-ce reconnu par la société ou a-t-on encore de réelles difficultés à renoncer au crime passionnel ?
- A titre d’exemple horrible, le cas de Bertrand Cantat pourrait-il se reproduire, entendons par là l’omerta et la peine à condamner cette horreur ?
Musique : N’insiste pas, Camille Lellouche
Partie 3 : les femmes
- Comment les victimes parlent elles ? De violences conjugales, d’agression
- Quelles sont les conséquences de ces violences, lorsqu’il n’y a pas mort ?
- Comment sortir les victimes de l’enfermement Domestique – famille, Sociale et communautaires (notamment dans les cités, les écoles etc…
- Comment les femmes s’organisent elles pour y faire face ?
Partie 4 : la réponse pénale, politique et militante
- Quel est le dispositif actuel ?
- Pour quelle efficacité ?
- Quel rôle des institutions, dans la prévention, la répression et le traitement des victimes
Ex de l’ancien procureur de Douai…
Doit-on acculturer les institutions et notamment la police, pour que les plaintes soient prises, que les victimes soient entendues ?
Et comment ?
Les mouvements masculinistes semblent se faire de plus en plus entendre et d’aucun dénonce la féminisation de la société, est-ce un risque ?
Et quels sont les réponses militantes, que pensez-vous des colleuses ? Comment faire en sorte en tant que citoyens, citoyennes de lutter contre ces violences
Musique : Till death do us part, Madonna
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Parmi les 213 000 femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019, 70% d'entre elles déclarent avoir subi des faits répétés. Se posent donc plusieurs questions, y compris celle de la récidive après punition.
En 2020, à la suite du Grenelle contre les violences conjugales, une nouvelle loi visant à protéger les victimes a été adoptée. Elle intègre désormais clairement le fait que le harcèlement moral au sein du couple peut conduire au suicide et est désormais puni par une peine de prison.
Récemment, le cas d’un député condamné pour violences conjugales a fait beaucoup parler, montrant que ces violences touchent absolument toutes les couches de la population.
Du crime passionnel au féminicide, un changement de regard sur les violences faites aux femmes ?
Avec
- Tristane BANON, romancière et essayiste, La paix des sexes et le collectif Toutes afghanes – et récemment Le Péril Dieu (Ed. de l’Observatoire)
- Marc CREPON, philosophe, directeur de recherche au C.N.R.S., travaux sur la violence, La philosophie face à la violence, avec Frédéric Worms, Paris, Équateurs, 2015 L'épreuve de la haine : essai sur le refus de la violence, Paris, Odile Jacob, 2016 Ces temps-ci : la société à l'épreuve des affaires de mœurs, Paris, Rivage, octobre 2020
- Ghada HATEM-GANTZER, gynécologue, obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes à Saint-Denis en 2016, première structure en France à offrir une prise en charge globale des femmes victimes de violences et de l'excision.
Partie 1 : quelle analyse du phénomène
- Quelles sont les spécificités des violences faites aux femmes ?
- Quelles différences entre la sphère domestique et la sphère extérieure ?
- Violence à la maison – Violence dans la rue, les transports… ?
- Quels chiffres ? On dit que toutes les femmes ont au moins été une fois victime d’une agression et notamment sexuelle
- A-t-on une idée des auteurs de telle ou telle forme de violence ?
- Est-ce selon vous un phénomène individuel ou social ?
- Sommes-nous en face d’individus violents envers les femmes ou est-ce construit, une culture de la violence, du viol, du patriarcat ?
I- l existe aussi des violences médicales et notamment lors des actes gynécologiques, sommes-nous ainsi dans un phénomène qui dépasse de loin celui de la violence à proprement parler ?
Partie 2 : les féminicides vus par la société
- Pourquoi parler de féminicide, quels sont les enjeux derrière le conflit sémantique qui semble se jouer dans la dénomination des crimes touchant les femmes, notamment dans la sphère domestique ?
- Est-ce un terme accepté, réellement utilisé ou est-ce encore un terme militant, qu’il convient d’imposer ?
- Est-ce reconnu par la société ou a-t-on encore de réelles difficultés à renoncer au crime passionnel ?
- A titre d’exemple horrible, le cas de Bertrand Cantat pourrait-il se reproduire, entendons par là l’omerta et la peine à condamner cette horreur ?
Musique : N’insiste pas, Camille Lellouche
Partie 3 : les femmes
- Comment les victimes parlent elles ? De violences conjugales, d’agression
- Quelles sont les conséquences de ces violences, lorsqu’il n’y a pas mort ?
- Comment sortir les victimes de l’enfermement Domestique – famille, Sociale et communautaires (notamment dans les cités, les écoles etc…
- Comment les femmes s’organisent elles pour y faire face ?
Partie 4 : la réponse pénale, politique et militante
- Quel est le dispositif actuel ?
- Pour quelle efficacité ?
- Quel rôle des institutions, dans la prévention, la répression et le traitement des victimes
Ex de l’ancien procureur de Douai…
Doit-on acculturer les institutions et notamment la police, pour que les plaintes soient prises, que les victimes soient entendues ?
Et comment ?
Les mouvements masculinistes semblent se faire de plus en plus entendre et d’aucun dénonce la féminisation de la société, est-ce un risque ?
Et quels sont les réponses militantes, que pensez-vous des colleuses ? Comment faire en sorte en tant que citoyens, citoyennes de lutter contre ces violences
Musique : Till death do us part, Madonna
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Parmi les 213 000 femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019, 70% d'entre elles déclarent avoir subi des faits répétés. Se posent donc plusieurs questions, y compris celle de la récidive après punition.
En 2020, à la suite du Grenelle contre les violences conjugales, une nouvelle loi visant à protéger les victimes a été adoptée. Elle intègre désormais clairement le fait que le harcèlement moral au sein du couple peut conduire au suicide et est désormais puni par une peine de prison.
Récemment, le cas d’un député condamné pour violences conjugales a fait beaucoup parler, montrant que ces violences touchent absolument toutes les couches de la population.
Du crime passionnel au féminicide, un changement de regard sur les violences faites aux femmes ?
Avec
- Tristane BANON, romancière et essayiste, La paix des sexes et le collectif Toutes afghanes – et récemment Le Péril Dieu (Ed. de l’Observatoire)
- Marc CREPON, philosophe, directeur de recherche au C.N.R.S., travaux sur la violence, La philosophie face à la violence, avec Frédéric Worms, Paris, Équateurs, 2015 L'épreuve de la haine : essai sur le refus de la violence, Paris, Odile Jacob, 2016 Ces temps-ci : la société à l'épreuve des affaires de mœurs, Paris, Rivage, octobre 2020
- Ghada HATEM-GANTZER, gynécologue, obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes à Saint-Denis en 2016, première structure en France à offrir une prise en charge globale des femmes victimes de violences et de l'excision.
Partie 1 : quelle analyse du phénomène
- Quelles sont les spécificités des violences faites aux femmes ?
- Quelles différences entre la sphère domestique et la sphère extérieure ?
- Violence à la maison – Violence dans la rue, les transports… ?
- Quels chiffres ? On dit que toutes les femmes ont au moins été une fois victime d’une agression et notamment sexuelle
- A-t-on une idée des auteurs de telle ou telle forme de violence ?
- Est-ce selon vous un phénomène individuel ou social ?
- Sommes-nous en face d’individus violents envers les femmes ou est-ce construit, une culture de la violence, du viol, du patriarcat ?
I- l existe aussi des violences médicales et notamment lors des actes gynécologiques, sommes-nous ainsi dans un phénomène qui dépasse de loin celui de la violence à proprement parler ?
Partie 2 : les féminicides vus par la société
- Pourquoi parler de féminicide, quels sont les enjeux derrière le conflit sémantique qui semble se jouer dans la dénomination des crimes touchant les femmes, notamment dans la sphère domestique ?
- Est-ce un terme accepté, réellement utilisé ou est-ce encore un terme militant, qu’il convient d’imposer ?
- Est-ce reconnu par la société ou a-t-on encore de réelles difficultés à renoncer au crime passionnel ?
- A titre d’exemple horrible, le cas de Bertrand Cantat pourrait-il se reproduire, entendons par là l’omerta et la peine à condamner cette horreur ?
Musique : N’insiste pas, Camille Lellouche
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- Comment les victimes parlent elles ? De violences conjugales, d’agression
- Quelles sont les conséquences de ces violences, lorsqu’il n’y a pas mort ?
- Comment sortir les victimes de l’enfermement Domestique – famille, Sociale et communautaires (notamment dans les cités, les écoles etc…
- Comment les femmes s’organisent elles pour y faire face ?
Partie 4 : la réponse pénale, politique et militante
- Quel est le dispositif actuel ?
- Pour quelle efficacité ?
- Quel rôle des institutions, dans la prévention, la répression et le traitement des victimes
Ex de l’ancien procureur de Douai…
Doit-on acculturer les institutions et notamment la police, pour que les plaintes soient prises, que les victimes soient entendues ?
Et comment ?
Les mouvements masculinistes semblent se faire de plus en plus entendre et d’aucun dénonce la féminisation de la société, est-ce un risque ?
Et quels sont les réponses militantes, que pensez-vous des colleuses ? Comment faire en sorte en tant que citoyens, citoyennes de lutter contre ces violences
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Parmi les 213 000 femmes victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019, 70% d'entre elles déclarent avoir subi des faits répétés. Se posent donc plusieurs questions, y compris celle de la récidive après punition.
En 2020, à la suite du Grenelle contre les violences conjugales, une nouvelle loi visant à protéger les victimes a été adoptée. Elle intègre désormais clairement le fait que le harcèlement moral au sein du couple peut conduire au suicide et est désormais puni par une peine de prison.
Récemment, le cas d’un député condamné pour violences conjugales a fait beaucoup parler, montrant que ces violences touchent absolument toutes les couches de la population.
Du crime passionnel au féminicide, un changement de regard sur les violences faites aux femmes ?
Avec
- Tristane BANON, romancière et essayiste, La paix des sexes et le collectif Toutes afghanes – et récemment Le Péril Dieu (Ed. de l’Observatoire)
- Marc CREPON, philosophe, directeur de recherche au C.N.R.S., travaux sur la violence, La philosophie face à la violence, avec Frédéric Worms, Paris, Équateurs, 2015 L'épreuve de la haine : essai sur le refus de la violence, Paris, Odile Jacob, 2016 Ces temps-ci : la société à l'épreuve des affaires de mœurs, Paris, Rivage, octobre 2020
- Ghada HATEM-GANTZER, gynécologue, obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes à Saint-Denis en 2016, première structure en France à offrir une prise en charge globale des femmes victimes de violences et de l'excision.
Partie 1 : quelle analyse du phénomène
- Quelles sont les spécificités des violences faites aux femmes ?
- Quelles différences entre la sphère domestique et la sphère extérieure ?
- Violence à la maison – Violence dans la rue, les transports… ?
- Quels chiffres ? On dit que toutes les femmes ont au moins été une fois victime d’une agression et notamment sexuelle
- A-t-on une idée des auteurs de telle ou telle forme de violence ?
- Est-ce selon vous un phénomène individuel ou social ?
- Sommes-nous en face d’individus violents envers les femmes ou est-ce construit, une culture de la violence, du viol, du patriarcat ?
I- l existe aussi des violences médicales et notamment lors des actes gynécologiques, sommes-nous ainsi dans un phénomène qui dépasse de loin celui de la violence à proprement parler ?
Partie 2 : les féminicides vus par la société
- Pourquoi parler de féminicide, quels sont les enjeux derrière le conflit sémantique qui semble se jouer dans la dénomination des crimes touchant les femmes, notamment dans la sphère domestique ?
- Est-ce un terme accepté, réellement utilisé ou est-ce encore un terme militant, qu’il convient d’imposer ?
- Est-ce reconnu par la société ou a-t-on encore de réelles difficultés à renoncer au crime passionnel ?
- A titre d’exemple horrible, le cas de Bertrand Cantat pourrait-il se reproduire, entendons par là l’omerta et la peine à condamner cette horreur ?
Musique : N’insiste pas, Camille Lellouche
Partie 3 : les femmes
- Comment les victimes parlent elles ? De violences conjugales, d’agression
- Quelles sont les conséquences de ces violences, lorsqu’il n’y a pas mort ?
- Comment sortir les victimes de l’enfermement Domestique – famille, Sociale et communautaires (notamment dans les cités, les écoles etc…
- Comment les femmes s’organisent elles pour y faire face ?
Partie 4 : la réponse pénale, politique et militante
- Quel est le dispositif actuel ?
- Pour quelle efficacité ?
- Quel rôle des institutions, dans la prévention, la répression et le traitement des victimes
Ex de l’ancien procureur de Douai…
Doit-on acculturer les institutions et notamment la police, pour que les plaintes soient prises, que les victimes soient entendues ?
Et comment ?
Les mouvements masculinistes semblent se faire de plus en plus entendre et d’aucun dénonce la féminisation de la société, est-ce un risque ?
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